Usurpateurs par l'urne
Quand nous donnons l'immunité à un président, ou un droit de veto à un maire ou un premier ministre, nous pipons les dés de la démocratie représentative.
Trop de pouvoir est concentré dans les mains de trop peu. Un est plus facile à influencer ou corrompre que cinq-cent.
Donc, ce n'est pas représenter, mais usurper.
Parce que le pouvoir des représentants qui devraient être notre voix, est court-circuité par un roitelet ayant le droit de filtrer ou de bâillonner.